Le jour n'est pas levé mais ça ne change rien
Les murs sont condamnés à ne voir aucun matin
Y a qu'une lumière filasse sur le froid du carrelage
Et la peur qui vous glace, vous tasse et vous ravage
Quand ça arrive .... Quand on y est ....
Alors on sait... Y a pas un homme qui soit né pour ça
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Y a pas un homme, y a pas un homme, qui soit né pour ça !
Des cris dans le couloir, le visage dans les mains
On compte l'éternité d'avoir les mêmes lendemains
On se sent seul et sale à bout de tout courage
Comme au fond d'une cale quand on sait le naufrage
La nuit n'est pas levée mais ça ne change rien
La vie est condamnée à n'espérer plus rien
Et ces jours que l'on raye ... Ou qu'on décide pour vous
Est-ce qu'on en sort pareil ? Ou plus sage ou plus fou ? Ou plus sage ou plus fou ?
Les murs sont condamnés à ne voir aucun matin
Y a qu'une lumière filasse sur le froid du carrelage
Et la peur qui vous glace, vous tasse et vous ravage
Quand ça arrive .... Quand on y est ....
Alors on sait... Y a pas un homme qui soit né pour ça
Y a pas un homme qui soit né pour ça
Y a pas un homme, y a pas un homme, qui soit né pour ça !
Des cris dans le couloir, le visage dans les mains
On compte l'éternité d'avoir les mêmes lendemains
On se sent seul et sale à bout de tout courage
Comme au fond d'une cale quand on sait le naufrage
La nuit n'est pas levée mais ça ne change rien
La vie est condamnée à n'espérer plus rien
Et ces jours que l'on raye ... Ou qu'on décide pour vous
Est-ce qu'on en sort pareil ? Ou plus sage ou plus fou ? Ou plus sage ou plus fou ?
Y a pas un homme qui soit né pour ça, y a pas un homme qui soit né pour ça
Y a pas un homme, y a pas un homme, y a pas un homme
Qui soit né pour ça , qui soit né pour ça
Y a pas un homme, y a pas un homme qui soit né pour ça !
Tu me manques ....
(F.Pagny- P.obispo)
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